La Reine des Lectrices, d'Alan Bennett
Que se passerait-il outre-Manche si, par le plus grand des hasards, Sa Majesté la Reine se découvrait une passion pour la lecture ? Si, tout d'un coup, plus rien n'arrêtait son insatiable soif de livres, au point qu'elle en vienne à négliger ses engagements royaux ? C'est à cette drôle de fiction que nous invite Alan Bennett, le plus grinçant des comiques anglais. Henry James, les s½urs Brontë, le sulfureux Jean Genet et bien d'autres défilent sous l'½il implacable d'Elizabeth, cependant que le monde empesé et so british de Buckingham Palace s'inquiète : du valet de chambre au prince Philip, d'aucuns grincent des dents tandis que la royale passion littéraire met sens dessus dessous l'implacable protocole de la maison Windsor.
Je n'ai pas du tout apprécié ce livre. Je n'ai pas trouvé que l'auteur eût un style particulier. Je n'ai pas non plus aimé le fait qu'il utilise un personnage, sa situation et un cadre spatial réels en attribuant à ce personnage des caractéristiques et des passions sans doute fictives.
Bien que le livre soit court (120 pages), j'ai mis plusieurs jours à le lire.
Dès le début de l'histoire, il m'a été difficile de m'adapter aux personnages du gouvernement outre-manche. Je ne peux pas finalement dire que je me suis accoutumée, car, par exemple, le personnage phare du roman, la Reine d'Angleterre, comme elle était décrite dans le roman, est restée pour moi impéténtrable, hermétique, dénuée de tout sentiment et avis critique.
L'humour de l'auteur m'est resté incompréhensible.
Pour conclure, je ne vous conseille pas trop ce roman, à moins que vous soyez terriblement passionné par la Reine d'Angleterre au point de lui inventer des hobbies imaginaires.
Je n'ai pas du tout apprécié ce livre. Je n'ai pas trouvé que l'auteur eût un style particulier. Je n'ai pas non plus aimé le fait qu'il utilise un personnage, sa situation et un cadre spatial réels en attribuant à ce personnage des caractéristiques et des passions sans doute fictives.
Bien que le livre soit court (120 pages), j'ai mis plusieurs jours à le lire.
Dès le début de l'histoire, il m'a été difficile de m'adapter aux personnages du gouvernement outre-manche. Je ne peux pas finalement dire que je me suis accoutumée, car, par exemple, le personnage phare du roman, la Reine d'Angleterre, comme elle était décrite dans le roman, est restée pour moi impéténtrable, hermétique, dénuée de tout sentiment et avis critique.
L'humour de l'auteur m'est resté incompréhensible.
Pour conclure, je ne vous conseille pas trop ce roman, à moins que vous soyez terriblement passionné par la Reine d'Angleterre au point de lui inventer des hobbies imaginaires.